Les poupées : "ELLES VEULENT JOUER AVEC VOUS"
Titre vo : Dolls
Titres altèrnatifs USA (alternative title) : The Dolls
Titres altèrnatifs France (imdb display title) : Dolls - les poupées
Titres altèrnatifs Hungary (imdb display title) : Babák
Titres altèrnatifs Brazil : Bonecas Macabras -
Titres altèrnatifs Hungary (imdb display title) : Babák
Titres altèrnatifs Brazil : Bonecas Macabras -
Titres altèrnatifs Italy : Dolls-Bambole
Titres altèrnatifs Poland : Lalki -
Titres altèrnatifs Mexico (imdb display title) : Muñecos malditos
Réalisation : Stuart Gordon
Scénario : Ed Naha
Effets des poupées : John et Vivian Brunner, GiancarloDel Brocco, David Allen
Effets speciaux :Arturo Balceiro, Xavi Bastida, Víctor García, Juan Serrano
Make-ups spéciaux : John BuechlerProduction : Charles Band, Brian Yuzna
Sociétés de production : Empire Pictures et Taryn Productions Inc.
Supervison musicale : Richard BandMusique : Fuzzbee Morse et Victor Spiegel (thème des poupées)
Pays d'origine : États-Unis
Scénario : Ed Naha
Effets des poupées : John et Vivian Brunner, GiancarloDel Brocco, David Allen
Effets speciaux :Arturo Balceiro, Xavi Bastida, Víctor García, Juan Serrano
Make-ups spéciaux : John BuechlerProduction : Charles Band, Brian Yuzna
Sociétés de production : Empire Pictures et Taryn Productions Inc.
Supervison musicale : Richard BandMusique : Fuzzbee Morse et Victor Spiegel (thème des poupées)
Pays d'origine : États-Unis
Genre : Horreur
Durée : 77 minutes
Date de sortie : mars 1987 (États-Unis)
Casting: Ian Patrick Williams , Carolyn Purdy-Gordon , Carrie Lorraine ,
Guy Rolfe, Hilary Mason, Bunty Bailey, Cassie Stuart , Stephen Lee
Guy Rolfe, Hilary Mason, Bunty Bailey, Cassie Stuart , Stephen Lee
Sur la route des vacances, bien confortablement assise à l'arrière de la voiture familiale, Judy n'est pas très heureuse. En effet, son père, David Bower l'a prise pour les vacances, et elle doit supporter sa belle mère, l'acariâtre Rosemary et future épouse de son père. Soudain, David, sa future épouse Rosemary et Judy sont surpris par un violent orage, qui les contraint à s'arrêter sur le bord de la route. Dépités, les trois membres de la famille quittent la voiture sous la pluie pour rejoindre une grande bâtisse qu'ils aperçoivent au loin. Ils y sont recueillis chaleureusement par deux personnes âgées, Gabriel et Hilary Hartwick. , un couple de vieillards, collectionneurs de poupées. Gabriel fabrique des jouets, plus spécialement des poupées, dont la maison est remplie. C'est alors qu'arrivent Ralph, ainsi qu’ Isabelle Sprange et Enid, deux "punkettes" qu'il a pris en autostope. Ils seront tous invités à passer la nuit, en attendant que la pluie cesse pour pouvoir débloquer leurs voitures. Pendant la nuit, les hôtes dévoilent leur vraie nature Toutefois, le "refuge" se révèle vite mortel pour ceux qui ne connaissent plus la joie de l'enfance
1 an avant Child Play, d'autres poupées démoniaques sont apparues sur nos écran. Réalisé par Stuart Gordon, cinéaste révélé par Re-Animator, Dolls est peut-être le film ultime du genre. Se voulant plus volontiers moralisateur et tourné en conte , Gordon marie Gore et merveilleux sur scénario des plus simple: Un couple et une enfant tombent en panne en pleine tempête d'orage dans un coin reculé de l'angleterre. Ils se réfugient avec 3 autres personnes, un automobiliste et deux femmes de mauvais gout et mauvais genre.mais une fois porte close chacun révele sa vrai nature... Bien que l’idée fut nouvelle pour l'époque, il ne fut pas le premier à mettre en scène des poupées/people : en 1936, Todd Browning met en scène un scientifique qui réussi à réduire la taille des humains. Suite à son décès, le complice de ce dernier aide la femme du savant, mais a d'autres projet bien moins bienfaisant. Connu sous le titre "Les poupées du diable", l'idée de base est un but humanitaire, mais l’hypocrite fait tout basculer . Le réalisateur est surtout connu pour des réalisations pour les "Universal Monster", ayant œuvré aussi en tant que scénariste, producteur, acteur. Les effet spéciaux de l"époque pour ce genre de films étaient sans doutes une technique similaire au écran vert avec les acteur filmés et on incruste l’arrière-plan après ou bien pour certain plan on utilise des poupées filmé a une certaine distance. Dans d'autres productions, la technique de l'image par image est sans doute utilisée, mais comme ici, c'est des humains, la première technique est sans doute prise pour faire paraître plus réelle la taille des cobayes. Charles Band utilisera plusieurs technique, sans avoir recours aux effets par ordinateur, pas si récurrents à l'époque; ces mêmes techniques seront récurrentes aux cours de ses réalisations avec des "sans ficelles" ou des monstres ayant besoin d'un plan entier d'animation. Avec "Les poupées" de Stuart Gordon et Brian Yuzna, Charles Band fait entré un nouveau genre de slasher miniature, en invoquant une inquiétude et une autre vue sur les jouets*. "Les poupées" est mélange d'horreur, fantastique, conte moralisateur, qui donnent pas un aspect vengeur, mais plutôt de juge : Seuls les bons survivent, qui sont au nombre de deux... Ralph et Judy.
Morales à retenir :
scène face a face dans l'atelier-être père
David Bower : Je veux qu'elle revienne. Cette petite garce a pris sa place dans cette masion, elle ne m'obeit plus.. Ramenez la ici, c'est mon enfant
Gabriel Hartwick : être père est un privilege, David...non un droit
Scènes face a face dans l'atelier-"le coeur et l'âme de l'enfance.."
Gabriel Hartwick : Tranquilise toi, tout peut être réparé
David Bower : Ha oui?.. éh bien répare ça vieil homme.. Il est detruit, oui detruiiit!!!
Gabriel Hartwick : Mais je l'ai réparé David Grace à votre aide. vous pourrez détruire autant de jouets qu'ils vous plaira, mais vous ne pourrez pas tous les faire disparaitre. il y aura des jouets aussi longtemps que les enfants en voudront bien, ils sont le coeur et l'âme de l'enfance..
Scène de Transformation de David Bower en Mr Polichinel-"De grand enfants"
Gabriel Hartwick : Tous les deux, nous pensons que les gens rempli d'amertumes, qui se sentent adultes peuvent trouver l'amour si ils se laissent aller au grand plaisir qu'apportent les jouets...
...certaines personnes peuvent être sauver nous donnons à tous le monde sa chance..
....Les autres comme vous, hé bien... Ils doivent disparaitre et jouer un nouveau roles dans le grand jeu, et vous ne savez encore ce qui va se passez n'est ce pas? ..grand sot de mr Polichinel..
Hilary Hartwick : Malicieux mr Polichinel.. toujours prêt à faire des bêtises
Les ingrédients de la partie du conte "Les poupées"
Dans beaucoup de contes de fée, on a la base qui est un des parents est remarié (généralement le père) : Le nouveau conjoint joue le rôle d'antagoniste qui mettra le bâton dans les roues. Ici ce n'est pas un mais deux antagoniste. Dans le cas présent, Le père et la marâtre sont les méchants du contes par rapport a l'héroïne, ici en l'occurrence Judy. Mais là ou il y a une marâtre, il y a une force bienfaisante, représentée ici par les Hartwick. Il y a aussi les vilains qui ne nuisent pas à l’héroïne, mais qui pourrait nuire à la bienveillance du couple de châtelain, les deux punk femelles : Isabel Prange et Enid.. Ensuite nous avons le protecteur de l’héroïne : Ralph Morris qui est selon lui devenu adulte, mais qui laisse bien apparaître sa part d'enfant en lui. Ensuite nous avons le final entre Le méchant principale et l’héroïne ; mais pour les poupées, les châtelains ont le rôle décisif à la fin du film contre David bower. Et Biensur il y a une fin heureuse, bien que un peu flippante : La scène d'au revoir de Judy à Mr Polichinel qui a bien sur la voix du père de Judy, après que Le châtelain ai lu une fausse lettre afin d'expliquer le départ de David. Tout en argumentant pour mettre Ralph avec sa mère, on voit Judy partir, mais un autre plan montre une autres voiture en panne qui laisserai supposer à une suite possible. Heureusement il n'y a pas eu de suite, car la saveur aurait eu un gout de peu et comme le film est dans un mauselée perdu en pleine campagne ça aurait été répétitif..
Les ingrédients de la partie Fantastico-horreur : Mise en place
le thème du film est l'enfance : A partir de ça, le film se construit autour de Judy et des châtelains . Le vieil homme est fabricants de poupées mais plus personnes ne veut de poupées personnalisées. Là Judy réplique j'avais Teddy, Mais.. Coupée par sa marâtre, cette dernière dis "mais tu l'as laisser maladroitement tombé dans la forêt".. Judy " oui j'ai.." La marâtre donne un coup de pied pour ne pas être contredite et judy répète craintivement la phrase de sa belle-mère (L'ours est jeté dans les buissons par la marâtre, mais dans l'imagination de la petite , l'ours devient vivant et tue les deux vilains.. ensuite une réplique que dit Judy après le repas "Oh, Teddy", la claque de sa belle-mère la ramène sur terre). ainsi s'installe le vrai caractère de la femme qui montre que elle n'est pas mère et encore moins une bonne belle-mère... Ensuite il y a deux dévergondées vulgaires qui arrive avec un homme peu vindicatif (Raph) qui est les cible des Moqueries d'Isabel, la première des deux femmes ("Tu aime faire joujou, Raph?")... A partir de là, tous se met en place et laisse une idée des actions qui vont venir...
Les ingrédients de la partie Fantastico-horreur : Le rôle des personnages
Chaque personnage a un role qui fera deboucher sur de nouvelles actions ce qui entrainera une réactions qui sera un effet boule de neige sur la suite de l'histoire par rapport à certain personnages.
David Bower : Mauvais père et mari peu affectueux, il emprisonne la gaîeté de sa fille et est manipulé par sa femme Rose-Mary. Adulte complet, il déteste, tous ce qui attrait à l'enfance et cherche à se débarrasser de Judy en l'envoyant chez sa mère. Mais son rejet de l'enfance l'amenera a une fatalité qui lui choira en ayant fait du mal à... (j'en dis pas plus). Son rôle est celui de l'incarnation adulte, poursuiveur, anéantissement, égocentrique et égoïste. Le rôle est tenu par Ian Patrick William
Rose-Mary Bower : Femmes acariâtre et Marâtre de Judy, Elle n'aspire qu'à une chose :Se remarier avec David et ne plus être encombré de Judy. Le fait de jeter "Teddy" dans la forêt" amenera un nouveau compagnon séjour a Judy. D'une grande impatience, son comportement lui portera pas bonheur. Caroline Purdy-Gordon incarne la marâtre au visage pincé, dénigreur et peu rieur.
Judy Bower : La fille de David Bower, elle incarne l'innocence face au monde adulte de son père et son épouse. Elle seule comprend la vrai nature de Ralph et prendra conciense que certain contes peuvent être vrai.. Elle est incarnée par Carrie Lorraine Machacek qui actuellement est juriste à Attorney.
Ralph Morris : Dans son délire innocent il ramasse deux auto-stoppeuse. De nature très naive, il aime encore les jouets et se rapelle de son père et de ses contes, il tentera de proteger judy de son père violent. Il est le grand enfant qui accompagnera Judy. Stepehn lee incarna le personnage. (R.I.P Stephen 1955-2014)
Isabel Prange : 1ère Punkette à l'allure dévergondée et au propos peu flatteurs et première à être tuée. De nature intéressée, son but premier était de "Faucher à Ralph son portefeuille, mais son ambition change quand elle se rend compte des objets de valeurs présent dans la vieille batisse. Erreur qu'elle aurait pas dû commettre. elle est joué par Bunty Bailey
Enid : De nature mollasonne, a comme idée de piquer le porte feuille de Ralph, mais se laisse convaincre par Isabel que la batisse regorge de trésors, bien que un peu scrupuleuse, elle couvre son amie et va irréversiblement viré vers une mort certaine. Cassie Stuart lui donne vie.
Gabriel Hatrwick et Hilary Hartwick : Deux chatelains qui vivent en reclu dans une vieille batisse. Gabriel est fabricant de jouets personnalisés, poupée, soldats, boite a musique. Leur demeure est en pleine campagne et le soir certains orage semble magique : ils sont sans fin. Qualifié de sorciers, ils mettent leurs chambres d'amis à leurs visiteurs... Il semble se faire a l'humour bien que ils ne soient au courant de l'époque moderne. Pourtant calme et avisé, ils reste mystérieux. ils sont joués par Guy Rolf et Hilary Mason
Les ingrédients de la partie Fantastico-horreur : L'intrigue
L'intrigue de base tourne autour de trois personnage : David, Ralph et Judy. En premier, Judy est une enfant innocente qui croie à la magie et autres légendes. Ce qu'elle croie devient réelle quand elle voit les événement étranges qui se passe dans la bâtisse. Dans un premier temps , Ralph décide de la suivre, mais est septique... L'idée est donc que les croyances d'une enfant se transmette et doivent convaincre les plus septique. Ici Ralph est le seul à suivre la fillette. De nature jeune d'esprit, il croie ce que peut lui dire des enfant. Enfant déguisé en adulte, il mérite d'avoir sa chance. bien qu'il ne soit pas responsable de la disparition de Isabel, il sera tenu pourtant responsable de cette dernière. Ici c'est le bouc émissaire que l'on tient responsable de tous les maux. Ayant compris que quelque chose cloche, personne ne veut croire sa version. Mais de ses yeux il verra que les jouets peuvent être en vie apres le couché. Tous deux seront poursuivi par le père de Judy, David. père possessif qui ne se rend pas compte de la valeur de sa fille, selon lui c'est sa propriété, "sa fille". Même en voyant certains événement de ses yeux, il ne croiera toujours et fera comme si de rien n'etait. Il jouera un nouveau rôle dans le grand jeu. "Quel sacré diable tu fait mon cher Polichinel.. Je dois admettre cependant que ton bonnet détonne avec ta tenue actuel..."
Les ingrédients de la partie Fantastico-horreur : Le tournage
L'équipe du tournage est composé de la crème du fantastique de séries B et notamment par le réalisateur Stuart Gordon, passé "Maîtres de l'horreur" qui est bien connu de la Fullmoon à qui l'on doit notamment Re-Animator, Aux portes de l'au-delà (From Beyond), The Pit and the Pendulum, Les Gladiateurs de l'apocalypse (Robojox), Castle Freak, Dagon, Progeny qui sont tous partie de FullMoon Features. Il aborde tous les genres du fantastique; depuis la Fantasy jusqu'au gore extrême. Par après nous avons comme producteur nous avons Brian Yuzna qui a produit en autre Aux portes de l'au-delà (From Beyond) de Stuart Gordon ,Les Poupées (Dolls) de Stuart Gordon, Re-Animator 2 : la fiancée de Re-Animator (Bride of Re-Animator), Necronomicon, Dagon, Beyond Re-Animator,... Aux effects speciaux nous avons Brian Yuzna qui rajoute cette corde à son arc avec celles de producteur et réalisateur , Xavi Bastida qui a travaillé sur Dagon, Faust 5.0 et la duologie Hellboy, ainsi que sur [rec 4] et pour finir nous avons Víctor García ainsi que Juan Serrano.. l'un et l'autre ont collaboré avec sur certains films de Guillermo Del Toro...
Les ingrédients de la partie Fantastico-horreur : Les acteurs
Pour incarner les personnages on a quand même une bonne playade d'acteur dont ce film a permis de marquer les esprits, mêmes si certains n'ont pas percer dans le cinéma. Ian Patrick Williams est choisi pour le rôle du père, il a joué dans certain FullMoon Features, mais on a pu en autre le voir dans une série horrifique dont le pilote est c'était un tendre..la série est basé sur un tueur d'enfant qui sévi dans les rêves..Pour la marâtre, Caroline Purdy-Gordon, épouse de Mr Stuart. Elle joue souvent dans les productions de son mari. Son visage ingrat lui permet de donné de la crédibilité à son personnage. Ensuite Stephen Lee s'y colle pour le rôle de Ralph Morris. pour ce type de rôle, il fallait quelqu'un qu'on peut dire que c'est un nounours et de rendre attachant le personnage. On peut notamment le voir dans Le puit et la pendule, Robocop 2, Ghoulies 3 et Préhysteria... Gabriel Hartwick est quelqu'un qui inspire l'inquiétude mais en même temps le respect. Pour ce faire Guy rolfe s'impose avec son visage Seraing dans le rôle du châtelain.. les yeux de ce dernier permet de pouvoir être capter et ca donne un certain pouvoir de persuation et d'inquiétudes. Il a également joué André toulon dans la saga Puppet master. il l'y incarnera 4 x.. Hilary Mason pour le rôle d'Hilary Hartwick. D'un point de vue artistique, il fallait une femme crédible aussi bien des répliques que du physique pour incarné la mamy un peu sarcastique : "Ne laissez pas les punaises vous mordre". Sur les rôles secondaire, mais qui auront un impact sur les événements, il y a Bunty Bailey dans le rôle d'Isabel Prange, la punkette Blonde et mesquine qui à tous les mauvais plan dans le corps et ensuite nous avons Cassie Stuart pour le rôle de la punkette brune et mollassone. Pour Judy c'est Carrie Lorraine qui s'y colle, rôle qu'elle tient à merveille....
les vrais stars : Les poupées
Bien qu'il y ai des acteurs, les vrais stars sont biensûr nos petits bouts de plastiques, cotons, ou porcelaine : Les poupées. Chaque poupée aperçu à l'écran est unique : en effets, si Gabriel fabrique des poupées personnalisées et divers jouets, les jouets du film ont été conçues et / ou customisées afin de donné plus de crédibilité aux paroles du châtelain et de faire en sorte que le résultat du film ne tombe pas dans la monotonie. Si les poupées sont personnalisées, Il y a quand même beaucoup de catégories de metier, tailles, matières, faciès, expressions et même les soldat de plombs mecaniques. Bien que on ne connaisse pas la nature de la magie qui les anime, on pourrait pensser que certaines son des démons, d'autres des anciens humains. Comme poupées nous avons:
- Les poupée du meurtre de Rose-Mary
La comptesse, le chasseur, le vampire, le charpentier, les poupées classiques, la bérgère, ....
- Scènes du meurtre de Enid (vidéo)
Dans cette scène ci, on y voit Isabel devenir poupée (lors de son"meurtre" elle était agonisante) et on y decouvouvre ce qu'il y a en dessous des poupées, ce qui laisse planer le mystère sur leur origines : on y voit des démons, des micro cadavres, un cranes defoncé... A la fin de la scène, Enid est tué par une cohorte de soldat
Appréciations
Critique de Psychovision.net
Un an après les délires gores de Re-Animator, Stuart Gordon réalise Dolls, qu'on pourrait qualifier de conte horrifique et quelque peu moralisateur puisque sont uniquement châtiés par les poupées les êtres aux mauvaises intentions.Le film dégage une ambiance à la fois magique et macabre accentuée par une partition musicale belle et inquiétante.Même si les trucages ont pris un petit coup de vieux, ils n'en demeurent pas moins bourrés d'un
certain charme désuet et les poupées jouissent d'une présence étonnante. Dolls fait également preuve de beaucoup d'inventivité dans les meurtres, et l'on retiendra surtout l'attaque d'un féroce Teddy-Bear géant ainsi que la transformation d'un homme en Polichinelle. D'une durée relativement faible (environ 75 minutes), Dolls fait partie des stars de la défunte firme Empire, devenue depuis la miteuse société Full Moon.
Critique filmculte.com
En 1988, une poupée vindicative et grognonne fait son apparition dans "Jeu d'enfant" de Tom Holland. Le cher ange se nomme Chucky, et le pari est de rendre un innocent jouet fringué comme Denis la Malice aussi flippant que Freddy et ses cisailles. Chucky est devenu culte, probablement plus que le film, pas vraiment à la hauteur. Un an auparavant, d'autres poupées démoniaques ont préparé le terrain. Réalisé par Stuart Gordon, cinéaste révélé par Re-Animator, Les Poupées est peut-être le film ultime du genre. Piochant plus volontiers dans les codes du conte, Gordon marie horreur et merveilleux sur une base prétexte: une famille tombe en panne dans les bois et son seul refuge est une grande et lugubre bâtisse isolée. Ils vont devoir y passer la nuit..
Au tout début du film, Judy, la jeune héroïne, lit Hansel et Gretel sur la banquette arrière de la voiture. Autre clin d'œil au conte qui annonce le reste du film, mais Les Poupées ne carbure pas qu'aux archétypes posés sur des rails et laisse une large place à l'imprévu et l'imaginaire. En témoigne cette scène extraordinaire où Judy voit son ourson en peluche balancé dans les fougères par son épouvantable marâtre (jouée par l'épouse de Gordon, et inspirée par Cruella d'Enfer), pour mieux revenir sous la forme d'un ours géant qui va se transformer en monstre sanguinaire. Tout ceci n'a lieu que dans l'imagination de la fillette, mais outre la pureté (tous les personnages torturés par les poupées sont des pécheurs), c'est aussi l'imaginaire qui permet de survivre.
A l'origine, Stuart Gordon était parti en Italie pour diriger From Beyond. Il s'est retrouvé avec cet autre film à tourner, non pas à la place, mais en plus. Tourné avant From Beyond, Les Poupées sortira finalement un an plus tard car le film nécessite alors un large travail de post-production. L'un des charmes indestructibles du long métrage vient de là: cet assemblage magique de stop-motion et de poupées mécaniques pour donner vie aux jouets, tous délicieusement affreux et pas du genre poupon Nenuco. Les mises à mort sont particulièrement jouissives, comme celle, cauchemardesque, de Rosemary. Vintage par le look (les ados qui s'incrustent, déguisées comme Madonna époque Like a Virgin), Les Poupées l'est aussi dans l'esprit, pépite B d'un âge d'or d'horreur tout sauf lisse. Aujourd'hui, le remake se ferait avec Britney Spears et Vin Diesel, commente le scénariste Ed Naha. Une suite avait été imaginée, Judy rentrant chez elle et recevant, par la poste, deux figurines à l'effigie des deux collectionneurs de poupées (splendides Guy Rolfe et Hilary Mason). Celle-ci n'a jamais été tournée...
Au tout début du film, Judy, la jeune héroïne, lit Hansel et Gretel sur la banquette arrière de la voiture. Autre clin d'œil au conte qui annonce le reste du film, mais Les Poupées ne carbure pas qu'aux archétypes posés sur des rails et laisse une large place à l'imprévu et l'imaginaire. En témoigne cette scène extraordinaire où Judy voit son ourson en peluche balancé dans les fougères par son épouvantable marâtre (jouée par l'épouse de Gordon, et inspirée par Cruella d'Enfer), pour mieux revenir sous la forme d'un ours géant qui va se transformer en monstre sanguinaire. Tout ceci n'a lieu que dans l'imagination de la fillette, mais outre la pureté (tous les personnages torturés par les poupées sont des pécheurs), c'est aussi l'imaginaire qui permet de survivre.
A l'origine, Stuart Gordon était parti en Italie pour diriger From Beyond. Il s'est retrouvé avec cet autre film à tourner, non pas à la place, mais en plus. Tourné avant From Beyond, Les Poupées sortira finalement un an plus tard car le film nécessite alors un large travail de post-production. L'un des charmes indestructibles du long métrage vient de là: cet assemblage magique de stop-motion et de poupées mécaniques pour donner vie aux jouets, tous délicieusement affreux et pas du genre poupon Nenuco. Les mises à mort sont particulièrement jouissives, comme celle, cauchemardesque, de Rosemary. Vintage par le look (les ados qui s'incrustent, déguisées comme Madonna époque Like a Virgin), Les Poupées l'est aussi dans l'esprit, pépite B d'un âge d'or d'horreur tout sauf lisse. Aujourd'hui, le remake se ferait avec Britney Spears et Vin Diesel, commente le scénariste Ed Naha. Une suite avait été imaginée, Judy rentrant chez elle et recevant, par la poste, deux figurines à l'effigie des deux collectionneurs de poupées (splendides Guy Rolfe et Hilary Mason). Celle-ci n'a jamais été tournée...
Critique cinemafantastique.net
Un an avant l’apparition de Chucky, figure emblématique des poupées tueuses, Stuart Gordon signait Dolls, son troisième long métrage pour la boîte de production Empire de Charles Band (qui deviendra avec le temps un passionné des films sur le thème avec notamment la franchise des Puppet master) et sous la houlette de Brian Yuzna. Les deux précédents opus du réalisateur, Re-Animator et From beyond, étalaient volontiers un mauvais goût prononcé et s’avéraient être des perles d’humour noir sanguinolentes.
Les poupées arbore un apanage plus civilisé et s’affiche comme un métrage plus élégant que les deux précédents. La trame assez classique permet un plongeon dans les films d’époque avec ce qu’il faut de personnages typés et une sombre bicoque aux allures gothiques. Une fillette, accompagnée de son père et de sa marâtre, se retrouvent bloqués sur une route de campagne et décident d’aller se réfugier dans un manoir avoisinant. Les propriétaires, un vieux couple de fabricants de jouets, les accueillent à bras ouverts et leur proposent de passer la nuitée au chaud. Gordon est un amateur de films d’horreur. Il en connaît toutes les ficelles et en a déjà usé et abusé dans ses deux œuvres antérieures. Du coup, les clichés prennent une autre dimension dans ses films. Les conventions ont une saveur particulière. Poussant les poncifs à l’extrême, le réalisateur présente un panel de personnages mal définis psychologiquement mais savoureusement cadrés selon une conception manichéenne banalissime. D’un côté, les méchants : le père qui hait sa fille, la belle-mère qui n’a de cesse que de la rejeter, les deux donzelles maquillées comme Paris Hilton et fringuées comme David Bowie. De l’autre, les gentils : la petite Judy mignonne comme un cœur et Ralph, adulte aux croyances très enfantines. Les 2 clans cernés, le territoire implanté (c’est simple : des poupées partout dans une baraque qui ressemble à une énorme maison de poupées), l’intrigue peut reprendre ses droits. Et le massacre opéré par les poupées commence. Bien loin de partir dans des effusions gores comme c’était le cas dans le délire d’Herbert West, le métrage se contente d’aligner certaines scènes de bon acabit qui donnent lieu à quelques meurtres sympathiques sans tomber pour autant dans le grand-guignolesque. Une cheville sciée par ici, quelques engins balistiques envoyés par là-bas, artifices minimes qui permettent tout de même aux jouets acariâtres de nourrir leur vengeance à l’égard de ces pitoyables adultes qui ne croient pas en eux. Entre deux, les sempiternelles explications de la fillette qui tente de convaincre tant bien que mal les adultes que les poupées sont animées. Esquintant la redondance de la chose, Gordon recourt à des dialogues savoureusement détournés et transformés en sous-entendus équivoques et emplis de jeux de mots et doubles sens effarants.
Et Gordon, en chef d’orchestre exceptionnel, de nous offrir un final moralisateur pour nous démontrer l’importance de conserver son âme d’enfant envers et contre tout, sous peine de se voir infliger une amende pour excès de vieillesse. Les poupées se décline en fin de compte comme un sombre conte de fées au sein duquel les adultes corrompus sont punis et les enfants innocents épargnés. Sans être un chef-d’œuvre intégral (ben oui, c’est jamais qu’un film avec des trucs en plastique qui tuent quoi !), Les poupées sauve l’honneur grâce à la mise en scène particulière de Gordon et son ton décalé qui sied si bien à Charles Band et sa bande.
Critique Horreur.com
"Dolls" se présente comme un projet atypique, déconcertant lors d’une première approche, pour la simple raison que le film de Stuart Gordon se place d’emblée dans le monde des contes de fées, tout en n’omettat pas de placer quelques scènes horrifiques. Ce qui enlèverait le doute quant à la destination du public visé. Plus mature que ses précédentes œuvres ("Re Animator", "Aux portes de l’au delà"), elle prouve que Gordon est capable aussi de faire un film au schéma plus classique.
Dans la présentation des personnages, Stuart Gordon respecte les caricatures des contes de fées : la belle mère acariâtre, le père qui délaisse sa fille (une sorte de Cendrillon), deux jeunes filles délurées et voleuses, l’homme qui dans son cœur est resté encore un enfant. Cette simplification des caractères n’est pas un défaut dans le cas présent, étant donné que nous nous trouvons dans l’univers des contes de fées. Respectueux de l’univers fantastique et onirique des contes (Cf. la fillette imagine que son ours en peluche devient réalité pour aller tuer ses parents au comportement si peu parental), l’action démarre par une nuit d’orage et une panne de voiture, contraignant les occupants à trouver refuge dans une vaste demeure (=la maison de l’Ogre). En lieu et place de meurtriers sanguinaires, la demeure est celle d’un vieux couple, qui représente parfaitement l’image des grands-parents, ceux qui nous racontaient des histoires avant que nous nous endormions. Ainsi, Gordon renvoie chaque spectateur à une partie de son enfance, où régnait l’insouciance.
Bien qu’ayant subi la patine du temps, "dolls- Les poupées", constitue un vrai classique de ce que les années 80 ont pu faire de plus subtil en matière d’horreur. En pleine vague de mode des films de poupées tueuses : "Jeu d’enfant", "Puppet Master", le film de Stuart Gordon sort des sentiers balisés, pouvant décontenancer le spectateur avide de frissons lors une première partie qui annonce des personnages clichés, avant que le jeu de massacre ne commence véritablement. Sans oublier un humour noir et la présence inquiétante du vieux couple (soupçonné de sorcellerie par Rosemary - interprétée par la propre épouse du réalisateur). Au final, la morale reste sauve.
Ma critique personnel
GALLERIE DE COVERS VHS
jaquette danoise - Jaquette Brittanique - Jaquette pays bas -
Polichinel
Un des personnages, qui malgré qui soit inactif une bonne partie du film est polichinel, petit fou paysan bossu et disgracieux. Dans ce film, la poupées devient le meilleur ami de Judy. Pourquoi cenom et pourquoi Judy?
A la base, Polichinelle est apparenté à Macchus et Kikirrus, bouffons impertinents et sots des Atellanes, dialoguant en osque, en grec et en latin. D’autres ont adopté une tradition selon laquelle un certain Paolo Cinella on Puccio d’Aniello, natif d’Acerra, paysan d’une tournure grotesque et d’un esprit facétieux, aurait été enrôlé dans une compagnie d’acteurs dont il aurait fait la fortune. À sa mort, un de ses compagnons aurait pris le costume, le masque et le nom légèrement modifié du bouffon campanien. En tant que marionnette et au-delà de la Commedia dell’Arte, le personnage de polichinelle se développe différemment et devient le principal protagoniste dans le théâtre de burattini; ce spectacle de marionnettes, appelé aussi guarettelle à Naples, est une invitation à mieux connaitre l’esprit et l’humour de la culture napolitaine. Dans la version original, Polichinelle est "Mr Punch" qui fait référence a une spectacle dramatique de marionnettes "Punch et Judy" : Mr Punch a des similitude avec polichinel : bossu, disgracieux, un long nez qui touche le menton, un costume de bouffon, et un baton / gourdin. Les deux personnage sont très facécieux, ce qui permet d'introduire Polichinel en tant que personnage vu qu'il fusionne ses deux origine britannico-italienne et italienne sauf que la il est le meilleur amis de Judy et Judy fait référence au personnage de "Mr Punch et Judy" qui à l'inverse de ses origine, est le meilleur amis de Judy sans lui faire mal. Donc dans le film, il reuni plusieur point commun avec Polichinel (Pulcinello de son nom italien) et Mr Punch (la marionette Britannique) et certaine référence au personnage d'origines
DISPONIBLE DANS >>>Passion repack<<< (HD) >>>Vivlajeunesse<<< >>>Ciné-bis-art<<< (vf + vostfr-HD + recadrage) Edition DVD fin 2014 - début 2015, une édition Dvd est sortie chez Sidonis Calysta et vendue avec le MAD MOVIES . Rappelons que la Mgm reste l'éditeur premiers en collaboration avec Sidonis
A propos de la jaquette DVD, bien qu'elle soit pas mal agencé, elle est un sacrilège par rapport au film : bras devant l'oeil, agencement trop moderne, plus d'éclairage. plus haut vous trouverez un custom jaquette retro. pour "CINE-BIS-ART" (RIP). la jaquette reste a être adaptée au gout de chacun et selon le site.
le Lien , c'est en dessous.
DOLLS est et restera le film de poupées a voir absolument . Sous forme de film d'épouvante, ce conte reste bien moralisateur et nous impose même de se remettre en question par rapport qualque fois avec nos réaction et nos actions. A la nouvelle génération, je conseille vivement ce film avant de voir des films plus moderne.
JE TIENS A REMERCIER L'EQUIPE DE LA HORRORTEAM QUI M'ONT AIDER A ME LANCER ET QUI M'ONT INSPIRE CET ARTICLE DONT DEUX DES MEMBRES SONT DES CONTRIBUTEURS |
merci pour cet iso et toute cette doc,boulot de fou,et c est vrai que les coms se font rares sur les sites,a part pour raler
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